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Draveil, le début de ma prériode française.

  • Mon arrivé à Paris.

  • L'hostellerie de la forêt.

  • La formation professionnelle.

  • Impressions de Draveil.

  • Achat d'une maison en Normandie.



Mon arrivé à Paris.

C'est après m'avoir plus ou moins bien remis d'une dépression nerveuse, que j'avais décidé d'aller prendre un stage de formation en continue à Paris, c'est à dire plutôt dans un endroit situé dans Le Vallois-Perret.     Je me venais, après que la firme américaine « Control Data » avait été contraint à fermer ses bureaux en Suise-Romande, de me mettre à mon compte tant qu'informaticien indépendant.

C'est donc après avoir termine mon stage de formation de gestion de projet, à Lausanne, que mon attention avait été attirée par un article dans un hebdomadaire de l'informatique, « Le 01 », traitant les formations en continue qui avaient lieu à Paris, ou plutôt dans le Valois-Perret.

C'était donc ainsi dit, ainsi fait, que je me suis rendu au mois de juin de l'année 1 993 à Paris pour un rendez-vous informel auprès la société Hommes Et Communication, laquelle assurait cette formation.    J'ai conclu que cette formation, qui était orienté sur la formation de type « Ingénieur Système », serait, malgré un coût assez élevée, bénéfique pour pouvoir poursuivre ma profession.

Le seul problème qui restait à être résolu; était le problème de logement.    Même si les gens, qui me logeaient pendant les jours que je passais à Paris ce mois de Juin de 1 993, étaient très gentils, et m'avaient proposé de rester ces trois mois, que ces stages duraient, chez eux.    Moi je me voyais cependant assez mal à rester dans une chambre d'hôtel pendant ces trois mois, et je me suis donc mis à la recherche d'un studio meublée.    Ceci s'avérait cependant mois facile que prévu, on avait en fait le choix entre indisponible, ou cher.    Pour finir, le coût de logement s'avérait aussi élevée que celui du stage.    Je me suis donc mis à la recherche d'un studio en dehors de la ville de Paris elle même.    C'est ainsi que je tombais, un peu par hasard, sur une petite annonce proposant un studio, payable au mois, dans la ville de Draveil, visible sur la photo, au bords de la seine, dans une hostellerie.

C'est ainsi qu'après un contact téléphonique, que je me suis rendu en RER à la gare de Juvisy, et que j'ai tenté de trouver en vain l'Hostellerie de la Forêt à l'autre côté de la Seine.    C'est donc à partir d'un petit café situé juste à l'autre côté de la Seine, que j'ai téléphoné à nouveau avec monsieur Granger, le gérant de l'Hostellerie de la Forêt, pour lui demander le lieu exact.    Lui, me disait que c'était assez loin, et pas évidant à trouver, puis qu'il valait mieux qu'il vienne me chercher.    J'étais ravi de voir le lieu, et je me suis aussitôt réservé un studio pour les trois mois de cour que j'allais suivre.

L'Hostellerie de la forêt.

L'Hostellerie, elle, se situait un peu en dehors de Draveil, aux bords de la forêt de Sénart.    Il y en avait un bâtiment principal, où ils se trouvaient les bureaux, le restaurant, et l'appartement du gérant.    Au fond de la parcelle, qui avait l'aspect d'un petit parc, se trouvait un bâtiment de deux étages, ayant sur chaque étage dix studios indépendants.    Ces studios étaient disponibles tant que chambre d'hôtel, soit tant que studio meublé louable au mois.    C'étaient des ravissants studios, avec une petite cuisine, de la télévision, ainsi que le téléphone.

La parcelle avait une place de stationnement pour les voitures des clients, qui était fermé pendant la nuit.    Qui était un petit inconvénient pour le gérant, parce qu'il fallait ouvrir certains clients, qui avaient tendance à rentrer tard.

À côté de cette place de stationnement, il y avait une ancienne grange, qui avait d'ailleurs garde ce nom, servant tant que salle de banquets et réunions.    Il y en avait régulièrement des réunions d'entreprise pendant la semaine, ainsi que des mariages les samedis.

Sur la photo à droite, je me fais prendre en photo, un des rares photos que j'ai de moi même, avec « Poussy », le chat du gérant, qui venait régulièrement rendre visite, pour réclamer quelques caresses.

La formation professionnelle.

La formation proprement dite, qui s'appelait « Expert Unix Polyvalent », dont notre filière avait reçu la dénomination de « EUP5 », consistait à apprendre, et approfondir les connaissances de la gestion des systèmes Unix et Novel, puis leur intégration dans le monde de monsieur Gates.    C'était une entreprise dans le Vallois-Perret, qui s'appelait « Hommes et Communication », qui assurait ces formations.    Chacune des filières de formation avait un ou une responsable, puis notre responsable était une fille répondant au doux nom d'Armelle.    Les autres gens de cette formation, je n'ai les jamais revu, Mme Armelle et son équipe, par contre oui.    Je suis revenu une fois pour les dire bonjour, et Armelle, je l'ai croisée une fois par hasard au CNIT, où on était les deux pour un séminaire, mais pas chez le même constructeur.

Impressions de Draveil.

La ville de Draveil c'était et est toujours est une ville plutôt bourgeoise.    Elle se composait en majorité des petits et moyennes pavillons, et des immeubles de petite et moyenne taille, sans avoir créé l'aspect ghetto, si typique des autres cités dortoir.


La ville de Draveil se situait au bord de la Seine, et avait, contrairement aux autres villes située aux bords de la Seine, un port de plaisance avec un parc adjacent.    Ce parc faisait parti d'une domaine qui se situait là, mais une partie du domaine du château a été construite, puis le restant a été transformé en base de loisir régional.

Mis à part de la base de loisir, la ville de Draveil soignait également l'aspect de la ville.    Il y en avait un marché couvert, qui avait, et qui a toujours, lieu le Dimanche, permettant aux citoyens de faire leurs achats hebdomadaires.    Pendant ces matins de Dimanche, il ne fallait mieux pas chercher à entrer, ou stationner sa voiture en ville, car les places de stationnement étaient soit indisponibles, ou interdites.

Un autre atout de Draveil était la proximité de la forêt de Sénart, qui était en grande partie fermé aux voitures, et convenait parfaitement pour des promenades, ou même du jogging.

Achat d'une maison en Normandie.

Aussi ravisant que le studio était, ça devenait clair que je ne pouvais, pour des raisons financières, pas rester dans ce studio.    Car j'avais, après avoir terminé les stages chez Hommes et Communication en début 1 994, m'inscrit tant que travailleur indépendant en France.    Même que je n'envisageais pas encore d'y rester définitivement, je me mis quand même à la recherche d'une autre solution.    Car, pour faire une comparaison, la location à elle toute seule correspondait à ce que j'ai besoin pour vivre actuellement.    Je me mis donc à visiter des différentes régions, villes et villages, des endroits où certains promoteurs proposaient des maisons, voire des terrains à construire.

Ce fut le hasard, qui me menait dans la région de Gaillon, en Normandie.    En plus, en allant, j'avais passé dans un ravisant village au bord de la Seine, juste à l'autre côté de la Seine.    Je me disais; zut, ce gens sont bien là, pas trop loin d'une ville, avec ses commodités, et commerces, très près d'une gare SNCF, puis l'autoroute n'est pas loin non plus !    Plus tard, on était déjà en 1 995, quand j'avais commencé la prospection, et quelques petits dépannages, que j'avais pris contact avec une agence immobilière dans la ville des Andelys, et c'est cette agence qui me proposait de venir voir certaines maisons.    C'est ensuite que j'avais retenu, parmi la sélection que nous avions visitée, la maison qui figure au premier plan sur la photo.    J'ai donc pu investir l'argent de ma caisse de retraite Suisse, que j'avais récupéré en quittant la Suisse, dans cette maison.


  Quelques événements importants de l'époque (de 1993 à 1995).

  • L'émergence du téléphone mobile.

  • Le début de l'Internet grand publique.



 
     
Wolter Smit, Freelance Computer Engeneer
15 Rue du 13 Août 1944
27940 Courcelles Sur Seine - FRANCE